Les membres du groupe de pilotage "Route verte Ardennes-Eifel" (de gauche à droite): Franz Bittner (Président GEAE), Roby Lenertz (L), Bruno Echterbille (B) et Paul Kremer (L)

Objectif principal du projet:
L'actuel projet " Route Verte Ardennes-Eifel " - subventionné par l'Union Européenne dans le cadre du programme " Interreg IVA Grande Région " - cible une revalorisation et redynamisation transfrontalière et le renforcement territorial de de la route champêtre Ardennes-Eifel dans la Grande Région. Par la création de ce lien durable, il y aura une valorisation transfrontalière dans le nord de la Grande Région.

Depuis 1955, des sections nationales présentes en Belgique, en Allemagne, en France et au Luxembourg travaillent activement pour la création et le renforcement d'une conscience européenne à travers des projets interregionaux. Au début des années 1960, les quatre pays ont travaillé à la constitution de la route verte des Ardennes et de l'Eifel naturel commun, du tourisme et des rencontres amicales et apprendre par ces actions à promouvoir à la connaissance de l'autre.

Le GEAE est depuis 1998 association enregistrée basée (asbl) au Grand-Duché de Luxembourg.

L'impact transfrontalier du projet a clairement comme objectif de renforcer la coopération entre les partenaires en Allemagne, Belgique et au Grand-Duché de Luxembourg, qui ont uni leurs efforts dans le GEAE. Ceux-ci mettent en avant la volonté de constituer entre les sections nationales une coopération durable.

La route verte Ardennes-Eifel a été créée à une époque, où les souvenirs de la guerre ont été encore vifs et où le développement d'une route touristique était un véritable défi. Cette route verte et sa valorisation met l'accent sur la nécessité de vivre des expériences et des valeurs communes et d'encourager les populations à tisser des liens avec les autres régions du massif des Ardennes et de l'Eifel.

Les gens pourraient s'intéresser à l'histoire de cette région frontalière si souvent frappés dans l'histoire, afin de préserver une histoire et une culture commune, et pour rendre plus concrète la préservation du patrimoine culturel.

Grâce à ce projet, la coopération transfrontalière au sein des collectivités locales, des institutions, des associations et des citoyens est rendue possible et encouragée. Ce projet permet de renforcer la connaissance mutuelle d'un patrimoine commune et stimule le sentiment d'appartenance des habitants de la Grande Région.

Ce projet permet des relations vivantes, l'encouragement de la coopération transfrontalière de différentes catégories de la population, de prolonger son expérience en famille, dans la cadre du travail, de jumelages. Bref, de permettre des rencontres durables dans cette vaste région frontalière et d'assurer la préservation d'un dialogue entre les habitants des différentes régions concernées. Le contenu de ce projet offre donc des avantages culturels, mais aussi économiques et touristiques.

Le projet concerne les personnes des territoires traversés par la route verte mais renforce également le sentiment d'appartenance à la Grande Région.

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